delicate.sound.of.thunder - TeenSong / Dérivehttp://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr-CowblogfrSat, 03 Sep 2011 20:54:55 +0200180http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/retour-3134600.htmlRetour C'est la rentrée mardi.
Je ne veux pas être en terminale, je ne veux pas être grande... je ne veux pas passer le bac et espérer ma mention pendant toute une année.
Je veux me blottir dans les bras de quelqu'un qui m'aime, simplement, et qui me protège...
Mais on n'a jamais le choix.



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Son sourire est magique.
Elle n'est partie de rien. Tout ce qu'elle a, elle ne le doit qu'à elle-même.
Elle a le coeur sur la main et les yeux du bonheur. Elle a cinquante ans. Elle est si menue, si jolie, si élégante dans le moindre de ses gestes, dans sa façon de faire les choses.
Elle fait toujours le bon choix, c'est toujours réfléchi. 

(à finir)

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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-3134600.htmlSat, 03 Sep 2011 20:54:00 +0200http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/retour-3134600.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/back-to-black-3094811.htmlback to black comme tout est étrange, anormal, décousu
je n'y arrive pas
et je ne veux pas qu'on sache
je m'en veux déjà trop d'avoir tout dit à Thomas et Noémie.
je ne veux pas de votre pitié

à force de volonté tout ira bien. d'ici deux ou trois ans. de quoi gâcher ces années de bonheur autrefois promises et tant espérées.

mais a-t-on le choix ?
je pensais qu'on a toujours le choix
au final, on ne l'a jamais.

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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-3094811.htmlSat, 19 Mar 2011 17:04:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/back-to-black-3094811.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/dans-le-bus-2981581.htmlDans le bus Ils sont gris comme la cendre froide. Les femmes ont toutes le même manteau, les plus jeunes sont pires, identiques. Les cheveux châtain trop lisses, la frange carrée ou de côté, jean slim bleu, gris ou noir sur leurs si jolies cuisses, bottines. Douze bracelets pour sublimer leurs poignets fins. Pas de couleurs, ou bien pas trop. La provocation a une définition variable. 
Les regards sont cernés au khôl et dérivent au gré du paysage qui défile au-dehors.
Les lèvres sont fines et glossées, brillantes, impeccables, mais ne sourient jamais. La mode est d'être désabusée, et de ne pas rendre le sourire des autres. Maussade et désenchantée. 
Le monde entier semble donc malheureux.
Le bus, la rue. Mes observatoires personnels de la société.
Peu importe la perte de temps, ce même temps si précieux en d'autres circonstances. J'aime étudier les visages mornes un par un et toujours, sans exception, y déceler quelque chose de beau, voire de sublime.

Un regard avec un éclat particulier, une couleur plus profonde.
Des lèvres pleines, comme les tiennes, mon ange.
De longs cheveux bouclés.
Un beau nez droit.
Des joues lisses ou un grain de peau douteusement parfait.


[... à finir ...)
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2981581.htmlTue, 30 Mar 2010 20:44:00 +0200http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/dans-le-bus-2981581.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/let-it-be-2974503.htmlLet it Be Dix secondes pour que la vieille peur revienne. Celle de l'échec. Celle d'être incapable, de n'arriver à rien. Vraiment à rien.

De toute façon, ma vie c'est comme ça, en dents de scie. Aux moments heureux, vraiment heureux, succèdent invariablement la déchéance et le mal-être. Seule différence : le mal-être et la déchéance, je n'ai le droit de les exprimer qu'avec mon violon enfermée dans ma chambre. Sinon, rien. Personne ne s'en rend compte. Aujourd'hui j'ai fait la gueule une heure et puis voilà. Tout le monde même et surtout mon binôwme pensera que c'est fini.

Mais merde.
"Contre-performance."
"Je suis déçu."
"Qu'est-ce qu'il t'arrive ?"
"Je m'attendais à beaucoup mieux."
Le seul prof capable de me faire autant de mal.

Et une fois de retour à la maison avec l'envie de me jeter dans les bras de maman et de redevenir une toute petite fille qui aurait le droit de pleurer :  "De toute façon tu vas baisser, De toute façon c'est normal, De toute façon fallait t'y attendre & tu tiendras pas."

En même temps c'était prévisible. Puisque les périodes de sadness sont toujours là pour faire planer leur ombre sur les moments de bonheur, je m'y attendais. J'ai toujours cette retenue quand tout semble aller pour le mieux, de me demander quand est-ce que la vie, les choses, les gens se décideront à m'en mettre plein la gueule. Puisqu'à chaque fois, c'est imminent, et que de toute façon à chaque fois c'est plus dur.
Oui, c'était prévisible. Le gros coup de blues en voyant toutes ces magnifiques filles douloureusement minces à la fête de Clara. Le moment de solitude pendant l'impro en repèt. La fatigue du matin. La journée à bosser. Mon père en retard ce matin. La neige morte-née samedi. 
Und so weiter.


Quand même. Si on m'avait dit qu'un 15,5/20 en ds de physique-chimie me minerait à ce point,
je ne sais même pas si j'y aurais cru. 
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2974503.htmlMon, 08 Mar 2010 16:58:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/let-it-be-2974503.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/and-shine-2963072.html, and Shine.... de devoir serrer maman dans mes bras et de sécher ses larmes enfermées toutes les deux dans la salle de bain où rien ni personne ne la verrait s'effondrer pour la première fois depuis longtemps
je lui ai dit que rien ni personne en ce monde ne méritait qu'elle se mette dans un tel état avec l'arrière-pensée que ce n'était pas à moi de le faire, ses mains me glaçaient même à travers le tissu et l'imagine me renvoyait une image vraiment laide, d'elle fragile et maigre, contre moi l'inverse exact. 
elle m'a dit que ça irait, on aurait dit une petite fille face à la réalité


alors FUCK, oui fuck tout le monde, de n'en avoir rien à foutre de ma vie,
FUCK papa de faire pleurer maman, de menacer de quitter la maison en sachant que par ta faute elle a plaqué son master de chimie et son poste d'enseignant chercheur à l'ENSBANA et que maintenant il est trop tard.
FUCK FUCK FUCK tous autant que vous êtes.

Je ne peux rien y faire, juste fermer ma gueule et être sage, ne rien dire par respect inutile des convenances qui ne servent plus à rien dans cette famille
et dire au p'tit frère que tout ira bien.
et ça me tue.

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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2963072.htmlSun, 07 Feb 2010 20:33:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/and-shine-2963072.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/amorce-de-rupture-2952236.html"amorce de rupture" Il était donc là à la sortie de ma salle à m'attendre malgré le pari -idiot certes- fait avec mon binôme. "Check que t'es pas capable de l'ignorer jusqu'à 16h. Dix euros." donc voilà je lui dois dix euros, mais ça me troue le cul, je lui ferai un cadeau à la place.
Il était allé demander à la vie sco' d'annuler mon retard, et se tape une heure de colle du coup.
Pour moi.
Au moins, comme l'a dit Clara, "c'est un mec bien et au moins il a des couilles". ça oui. Je regrette encore. J'aurais préféré être collée moi. Pas lui. Quelque part je lui en voulais encore, en plus... je ne me l'explique pas. Je me suis haïe profondément, je ne lui ai pas accordé un regard, j'avais envie de vomir, tout me dépassait surtout mes réactions, alors je me suis calfeutrée dans la salle d'histoire et j'ai suivi le cours pour me vider la tête. (J'aime bien le prof.)
Il était encore à la sortie de ma salle à 16h, j'en revenais toujours pas, j'avais envie de me tuer là. (ça me fait ça des fois, ça ne dure pas longtemps, c'est sans gravité, mais il y a des moments où je voudrais trouver une corde et un tabouret peu stable ou bien une pelle et un coin sombre pour m'enterrer ou encore tout simplement disparaître...) Je ne savais pas quoi lui dire non plus, comment exprimer ce mélange d'amür, de ressentiment, d'égoïsme, de reconnaissance et d'admiration. alors je n'ai rien dit. Il avait dans son regard cette lueur particulière, douce-amère et blessée, c'était l'enfer à supporter.
Il m'a suivie jusqu'au dernier préau où il m'a embrassée sous le regard du prof de maths euro et des ses commentaires ("hannnn les amoureux" Drôle, et en plus c'pas le moment), il m'a répété qu'il m'aimait, j'ai été incapable de parler, ne serait-ce que pour lui dire que moi aussi. J'ai fini par me barrer sous prétexte que mon père était arrivé - sur le chemin du retour j'ai écouté Apocalyptica jusqu'à l'overdose et à devenir encore plus égoïste et salope, à lui reprocher par sms de jouer avec moi et de ne s'intéresser qu'à mon cul et à mes seins. 
Qu'est-ce qu'il fait encore avec moi ? Il va vraiment pas bien, pour rester avec une fille pour moi, gentil comme il est.
Donc voilà il allait mal et moi je l'ai ignoré, je lui ai même demandé de ne pas venir devant ma salle jeudi à 8h. Je me suis fait pitié. Bagagerie à 10h donc. Il était là avec ses yeux fatigués, son grand corps mince adossé au mur, je me suis sentie vaine et futile, il a posé ses lèvres sur les miennes et en trois mots tout était réglé.
C'est beau l'amour.
Sinon aujourd'hui c'était la pire alerte à la tempête de neige alors ils ont arrêté les poids lourds et fermé mon lycée en avance - j'ai eu l'après-midi de libre, j'ai squatté le lycée de Clara et recontré Samuel - je l'aime bien - et la corress australienne qui repart lundi, que j'aurai très peu connu, Grace, adorable, qui m'a en plus dit que je ressemblais à Audrey Tautou <3.
Finalement il n'y a pas trois centimètres de neige mais elle est très légère et vole et c'est très joli, j'ai fait rentrer Clara à ma maison et lui ai fait un chocolat chaud et des tartines, elle va mal, ça ne me plaît pas.

J'écoute les Floyd et tout se calme dans ma tête, le calme apparaît dans toute sa splendeur, j'oublie tout et la vie est simple.
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2952236.htmlFri, 08 Jan 2010 21:06:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/amorce-de-rupture-2952236.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/5-01-2010-2951012.html5.01.2010
Aujourd'hui c'était Mardi, j'ai horreur des Mardi, surtout quand on a SVT le matin en semaine B (ou A, bref, une sur deux) - parce que la prof, tout le monde l'aime, sauf moi, et elle aime tout le monde, sauf moi, et je me sens bête et j'aime pas vraiment ça. Mais encore, ça va. Ensuite y a eu DS de Physique avec mon prof de physique adoré (je pourrais parler de lui des heures tant c'est l'amour vache). J'avais révisé comme une petite fofolle, environ 2h hier soir -et c'est énorme pour moi- et je me suis sentie surpuissante en butant sur aucun exercice sauf le dernier (et je prie pour que l'élément chimique Mg ait bien A = 24 et Z = 12 ; et j'ose pas aller regarder la classification périodique, trop peur) et c'était la classe ultime.
Après j'ai eu français (j'imagine que c'est pas mal rébarbatif de te raconter, anonyme spectateur de mes jours, mes heures de cours une par une) avec... ben ma prof de français. Blonde, pas grande, des yeux bleu turquoise méchants et la sale habitude de t'envoyer péter, de mâcher du chewing-gum à longueur de journée et de se prendre pour le centre du monde ("Je suppose que personne n'a jamais lu un seul livre de Camus dans cette classe ? Non mais c'est normal, vous les seconde, vous êtes d'une inculture..." Si, moi, connasse.) et on a presque rien fait, en même temps en français je m'emmerde, j'ai rien appris depuis le début de l'année. Mais comme aujourd'hui on a débattu sur la question "Pourquoi écrit-on ?" et qu'elle m'a laissé parler et a approuvé, j'étais contente. Je dois même avouer que ça m'a fait plaisir quand les trois quarts de mes amis se sont retournés vers moi pour me poser la question à moi, surtout Alice, elle qui est si supérieure en tout à tout le monde, Célia qui s'en fout du monde, Méli qui a tellement plus de talent que moi.
Et puis j'ai pris le bus pour rejoindre Clara, la lumière en latin, l'étincelle qui allume la flamme de ma vie, celle qui partage tout avec moi depuis 11 ans. Elle s'est retrouvée dans un lycée de petits bourgeois du centre-ville, elle et son sourire, sa classe, sa bonne humeur, la flamme dans son regard, par ma faute, un jour peut-être j'aurai le courage de tout t'expliquer, fantôme qui me lit.
Mon binôme est venu avec moi, parce qu'il a aussi son meilleur pote dans le même lycée de petits bourgeois, mais lui le vit mieux, ça s'explique pas trop. Je dois m'avouer pas mal fière d'avoir quelqu'un comme lui dans mon entourage, je l'aime vraiment fort, je m'étais rarement aussi bien comprise avec une personne du sexe opposé. Sa franchise, son humour, sa bonne humeur, ça me plaît vraiment.
On a été manger à McDo et je suis encore en train de culpabiliser sur les calories - la balance annonçait ce matin 63,2, je pleure. Je l'ai fait rire, je lui ai offert son cadeau de Noël, pendant presque une heure et demie la vie était tout simplement belle. Et puis elle a été à nouveau happée par ce bâtiment gris et sale, vieux, aux grands murs de pierre, où j'espère être admise en prépa dans trois ans...
Alors je suis rentrée, Thomas m'avait attendue, il sortait du foyer alors que j'y allais le rejoindre, je l'ai repéré de loin, en même temps c'est pas dur vu la taille qu'il fait - et on a été s'embrasser au fond du couloir du bâtiment f, là où y a pas trop de monde qui passe et où il peut s'adosser au radiateur tout en faisant se balader ses mains un peu partout sur moi. Il les a douces et froides, grandes, elles s'attardent sur l'agrafe de mon soutien-gorge, le ruban quand il y en a un, mes seins eux-mêmes et là je ne peux plus l'arrêter, ou mes fesses, les poches arrière de mon jean Rica Lewis 1928 avec braguette à boutons (amagad) taille 36 dans lequel je rentre à nouveau. Aujourd'hui il avait de la motivation, et moi aussi, assez en tout cas pour oser glisser mes mains à moi dans son dos et jusque sur ses hanches saillantes et son bas-ventre - so agréable, et no comment, merde j'ai que 15 ans et c'est mon premier copain. J'ai l'impression de sentir encore ses mains sur mes fesses. Et je l'aime. Lui et ses yeux bleus. Lui seul capable de me tuer avec des mots d'amour somptueux et de caler une connerie au milieu - genre "les tapis ça chatouille les pieds". Lui seul capable de me retenir dans ses bras même quand ça sonne et que je suis censée être en cours, lui seul capable de me faire frémir comme ça en plaquant son bassin contre le mien. D'être tout pour moi.
Après Maths Euro - on n'a rien foutu, pour changer. Je me demande si le prof se rend compte que sa matière compte au bac.
Anglais. J'aime bien le prof, il porte des Doc Martens et écoute les Floyd - par contre j'aime pas sa tendance "chemises de bûcheron". Il m'a mis 15 en rédaction en précisant que merde, tu es journaliste, pas écologiste, alors sois neutre. 
Allemand. J'aime bien la prof, elle est mignonne et gentille. Elle est devenue toute blanche quand quelqu'un est venu frapper à la porte pour dire " y a un problème avec votre fille" et est revenue avec de jolies pommettes rouges. C'était pas pour elle, en fait. Satisfaction égoïste ô combien compréhensible.
Je suis allée retrouver Thomas à la pause entre ses deux heures de cours, il m'avait écrit une lettre de sa si jolie écriture de fille... me dire à quel point il m'aimait et comme il aimait (aussi ? surtout ?) me sentir lui caresser les hanches et le bas-ventre.
Je suis passée à ma librairie préférée acheter le navet qu'on lit en français et La Peste de Camus parce que je l'aime, j'ai fait mon exo de synthèse de physique, cet article est trop long alors si lecteur anonyme t'es allé jusqu'au bout, franchement, respect, j'aurais pas eu ce courage.



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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2951012.htmlTue, 05 Jan 2010 22:21:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/5-01-2010-2951012.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/zeugme-2949824.htmlZeugme
et quand on se retourne il est tard, les plus belles années de "notre" vie se sont écoulées

et on n'oublie
jamais
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2949824.htmlSat, 02 Jan 2010 21:02:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/zeugme-2949824.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/wasted-time-iron-maiden-2935846.htmlWasted Time [Iron Maiden] Je ne pouvais plus supporter de voir les couples s'embrasser, se faire, se défaire, devant moi, je les détestais oui, mais uniquement parce que je les trouvais divinement beaux, parce qu'au final chacune de ces filles allait à merveille dans les bras de son mec. C'était triste à dire et pourtant je me l'avouais. Je suis une entière contradiction. Et toi le plus beau des paradoxes.

Alors maintenant...
J'ai tout le loisir d'apprécier les bas et les hauts de notre relation, la retenue causé par la crainte de te faire du mal, the never-ending why, les cent mille inquiétudes qui désormais parsèment mon existence, l'hésitation, la peur, tout ça, tellement beau, tellement fort. Les minutes pas si rares où je te hais désespérément, toi, tout seul, pour rien, pour trois fois rien, et les heures entières où je t'aime à en devenir folle... Les instants d'éternité et ceux où on ne sait même pas quoi se dire, tous ceux où je m'arrête de rire d'un seul coup pour regretter que tu ne sois pas là.

C'est ma vie maintenant. Tu es ma vie maintenant. Et je... t'aime.
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2935846.htmlTue, 24 Nov 2009 18:18:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/wasted-time-iron-maiden-2935846.html
http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/jynweytek-ylow-2928847.htmlJynweytek YlowTon odeur sur le col de ma chemise,
Tes lèvres sur les miennes,
Ton nom dans les marges de mes cahiers,
et ta main dans la mienne,
ta voix qui résonne encore à mes oreilles,
ton regard qui m'assassine,
ton regard cocaïne,
ton sourire
pour illuminer le monde entier,
tes mains sur ma taille,
ton corps trop grand contre lequel serrer le mien,
tes bras pour me protéger,
et tout ton être pour me fasciner.

J'ai cent mille mots pour te le dire. Cent mille mots tous différents et lourds de sens chacun à leur façon. Cent mille mots et plus si affinités. Cent mille mots qui se valent - ou pas.

Et pas un seul qui pourrait suffire.
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http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/commentaires-2928847.htmlFri, 06 Nov 2009 19:35:00 +0100http://delicate.sound.of.thunder.cowblog.fr/jynweytek-ylow-2928847.html